(Rions un peu, juste un peu…)
Nous avons tous plus ou moins la même espérance de vie. Que souhaitons-nous laisser derrière nous en conclusion de cette vie? Certains laisseront peu d’empreintes, d’autres en laisseront davantage. Mais encore faut-il savoir quel genre de trace nous voulons laisser derrière nous…
Inscription funèbre
Quel genre d’épitaphe verriez-vous sur votre pierre tombale? Bon, vous vous direz peut-être que c’est un sujet plutôt sombre en ces temps festifs, mais détrompez-vous! On peut également rire un peu avec la mort.
Savoir en rire aussi
Après avoir surfé sur différents sites Internet, je me suis bien rendu compte qu’il était possible d’avoir le sens de l’humour jusqu’à la fin. Voici donc quelques-unes des inscriptions mortuaires que j’ai répertoriées afin de vous faire rigoler un peu.
« Parti sans laisser d’adresse. »
« Nous fûmes ce que vous êtes, serez ce que nous sommes. »
« Je vous l’avais bien dit que j’étais malade. »
Une réflexion profonde
Cet exercice, ma foi, bien rigolo, m’a mené vers une réflexion très profonde. La mort et mon attitude en ce qui la concerne. Je dois bien avouer que, comme bien des gens elle m’a déjà fait peur. Ce n’est plus le cas, allez savoir pourquoi! Peut-être que l’âge et ma spiritualité y sont pour quelque chose…
Mais, avant ma réflexion des derniers jours, elle restait quelque chose dont on ne pouvait pas rire du tout. Et me voilà à m’imaginer mon épitaphe à moi!
Outre la pierre tombale et son inscription comique, il y a, bien évidemment d’autres moyens de laisser sa trace. Moi, par exemple, je travaille pour une nouvelle conscience et je ne m’en cache pas. Je ne dis pas haut et fort que je suis plus consciente que les autres. Non! Mais je dis haut et fort toutes mes découvertes et mes expérimentations. C’est ma façon à moi de laisser ma trace.
Ce que je découvre sur la vie et ce que j’y expérimente, en le partageant au plus grand nombre de gens possible, je contribue aussi au plus grand nombre de gens possible. Je crois sincèrement que nous avons tous ce devoir de contribution puisque nous sommes tous interreliés de toute façon.
En conclusion
Et avant de terminer ce texte, j’aimerais terminer en vous laissant un exemple de ce que j’aimerais avoir pour épitaphe :
« Ci-gît un corps sans vie. Rien ne vous sert de pleurer sa vie, il n’entend rien je vous le dis. Seulement, vous pouvez toujours parler à son esprit, il est dans votre poche et sait se faire tout petit. »
Josée Durocher
Crédits pour les épitaphes : http://quimaimemelise.blogspot.ca