Voilà une affirmation qui en fait certainement sursauter plusieurs d’entre vous! Les autres, eux ont compris que derrière chaque pas que nous pensons faire vers l’arrière, relativement à chaque chute que nous faisons, se trouvent des opportunités de leçons extraordinaires!
L’échec n’existe pas! Et voici pourquoi!
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La plainte
Non! L’échec n’existe pas. Ou bien alors qu’en mot ou en souffrance qu’on se « plaint » à imaginer comme pour se donner la permission de s’arrêter et de souffler un peu. Mais dans les faits, tout n’est que leçons et occasions d’apprentissages. Et si nous ressentons le besoin de souffler pour mieux apprendre, pourquoi nous faire tout un cinéma afin de prendre du temps pour nous-mêmes? Suffit de nous reposer, tout simplement, et ce, le temps dont on a besoin.
Parce que parlant de cinéma… avouons que beaucoup d’entre nous aiment bien souligner, dans une conversation, comme ça dans un hasard bien calculé, que nous nous sommes déjà cassé la gueule bien solidement et que nous nous sommes relevés. Cela alimente la discussion et ça nous fait un « petit je ne sais quoi » qui nous rend bien fiers de nous.
La résilience
Avouons aussi que depuis l’apparition du mot résilience dans notre vocabulaire, nous l’avons usé jusqu’à la corde avec une petite tendance de victime. Car, après tout, surfer pendant des heures sur des histoires où on a souffert donne souvent comme résultat que les autres, plutôt que de nous voir comme une inspiration, nous plaignent, car nous leur faisons pitié.
Non! L’échec n’existe pas! Elle n’est qu’illusion. Cette illusion que nous créons parce qu’il nous arrive de souffrir. Mais, qui a dit qu’apprendre devait absolument être gai tout le temps? Apprendre c’est aussi rire, pleurer, avoir le cœur en fête et souffrir.
Apprendre aux autres, apprendre des autres
Mais il existe des gens vraiment résilients parmi nous qui oui, discutent des leçons qu’ils ont apprises et les retransmettent aux autres sans avoir la lumière sur eux, mais bien sur la leçon dont ils parlent. Il y a ceux qui montent et ceux qui n’ont de cesse d’avoir l’impression de redescendre tous les échelons qu’ils ont gravis.
Il existe des gens bien honnêtes qui, malgré tous leurs efforts, semblent ne jamais pouvoir réussir…
Peut-être s’y prennent-ils mal? À toujours faire les choses de la même manière ou de façons similaires, on atteint habituellement les mêmes résultats!
Et si nous observions notre vie un moment? Si nous choisissions une chose, seulement une, où nous pensons échouer actuellement et que nous nous questionnions sur l’efficacité de nos actions portées par nos élans créateurs? Probablement que nous trouverions la ou les erreurs qui ne nous permettent pas la réussite tel que nous la concevons.
« À trop se regarder le nombril, nous oublions que nous avons une tête pour réfléchir, et un corps pour agir! »
Josée Durocher