Imagine-toi là, dans cette version de toi-même que tu rêves secrètement d’incarner. Pas demain, pas dans un futur lointain, mais maintenant, ici, dans l’instant présent. Ressens-le. Vis-le. Ce n’est pas de la prétention, c’est de l’alignement. Quand tu assumes que tu es déjà cette personne, tu commences à penser, à parler, à agir comme elle. Tu arrêtes de te demander « et si ? » parce que dans ton esprit, il n’y a plus de doute. Tu as déjà franchi la ligne d’arrivée dans ta tête, et c’est ce qui fait que le reste du chemin se dessine sous tes pas.
La vie te renvoie toujours un écho de ce que tu crois être. Si tu te vois petit, brisé ou perdu, elle te le confirmera. Mais si tu oses t’affirmer comme complet, capable et puissant, même sans preuves tangibles, l’univers trouvera un moyen de te donner raison. Ce n’est pas une question de magie, c’est une question de conviction. Tes pensées ne sont pas juste des idées en l’air, elles sont des graines que tu plantes dans ton propre terrain mental. Assume que ton jardin est déjà en fleurs, et tu verras comment la vie se précipite pour arroser ces racines invisibles.
On ne devient pas ce que l’on désire, on devient ce que l’on croit. Le pouvoir de l’assomption, c’est de choisir ton identité avant que le monde extérieur ne valide quoi que ce soit. Ce choix, c’est toi qui le fais. Et une fois que tu l’as fait, tiens bon. Agis comme si tu avais déjà gagné, même quand tout semble encore te contredire. Parce qu’à la fin, ce n’est pas le monde qui te transforme, c’est toi qui transformes le monde en assumant qu’il est déjà à ton image.