Je vous partage, dans cette vidéo, un texte qui a bouleversé des millions de lecteurs à travers le monde. Il s’intitule » Les pères oublient »,et a été écrit par William Livingston Larned. Un joli texte qui bouscule le papa que je suis , j’aurais tellement aimé le lire plus tôt…( vous pouvez le télécharger en bas de l’article.)
S’épanouir personnellement est important mais lorsque la famille s’agrandit, notre épanouissement ne pourra être totale que si notreenfant l’est aussi. Etant bien entendu qu’il n’existe pas de recette miracle pour l’éducation de notre enfant. La lecture de cet article ne doit pas vous complexer ou vous culpabiliser. Considérez ces conseils, issus du livre « oser« de Frédéric Fanget comme des pistes qui sont là pour nous aider.
Retenons et développons ces trois grandes idées :
Être soi-même un exemple de confiance en soi.
Éduquons-lui la confiance en soi inconditionnelle.
Avoir un comportement de « parents ».
Etre soi-même un exemple de confiance en soi
En tant que parent, nous désirons ce qu’il y a de mieux pour notre enfant et c’est normal. De là peut venir la peur de lui transmettre ou de lui faire ressentir notre manque de confiance en nous. Une des solutions est de Travailler soi-même et quotidiennement son capital confiance, en minimisant ses erreurs, en prenant du recul sur les difficultés que nous rencontrons. C’est le discours que nous entretenons à notre égard qui permettra à notre enfant de mieux se situer.
Éduquons-lui la confiance en soi inconditionnelle
Permettons à notre enfant de ne pas être parfait et acceptons qu’il se trompe.
Aimons le tel qu’il est, pas comme nous voudrions qu’il soit.
Ne jamais lui faire ressentir qu’il est nul en le dévalorisant devant les autres.
Ne pas discréditer ses performances.
Le rassurer en lui communiquant notre amour quels quesoient ses résultats.
Avoir un comportement de « parents ».
Premièrement, être un coach :
Nous sommes pour notre enfant un guide, un soutien. Comme le coach, il est bon d’encourager l’effort et non la réussite : « un jour ton travaille paiera. » et en même temps, si à force d’abnégation les résultats espérés n’étaient pas au rdv, accompagnons-le et aidons-le à surmonter cette épreuve. Il est important de lui apprendre la frustration afin qu’il comprenne que certains désirs resteront à l’état de désirs.
Deuxièmement, être un pédagogue :
Nous sommes son éducateur de vie. Il est nécessaire pour ne pas dire vital de lui apprendre à se défendre face aux attaques, qu’elles soient verbales ou physiques. Un art martial comme le judo est une bonne école de la vie. Les valeurs comme le respect, la maîtrise de soi, l’honneur, le courage y sont enseignées. Lui apprendre à ne pas se soumettre en disant « Non. » de nos jours trop de personnes acceptent tout et n’importe quoi car il n’arrive pas à dire ce mot « Non. » Avoir le courage d’exprimer son opinion est une vertu de nos jours .
Troisièmement, être un repère :
Ce rôle est certainement le plus difficile à tenir. Il le sera encore plus pendant la période de l’adolescence. Respectons nos engagements, ne faisons pas de promesses que nous ne tiendrons pas. Si toutefois nous changeons une règle de vie le concernant, le prévenir avant. Ce conseil à l’air anodin, mais extrêmement important pendant cette phase d’opposition. L’adolescent a besoin que ses parents soient des repères en lui montrant les limites. Autrement dit, notre enfant sera moins à même de discuter nos prises de décisions puisqu’il saura que c’est peine perdue.
Quatrièmement, être un libérateur :
Maintenant est venu l’heure de laisser l’oiseau quitter le nid ! pour certains parents ce moment n’est pas des plus facile. Si toutefois c’est trop dur, regardez si ce n’est déjà fait le film « Tanguy », il est fort probable que cela vous aide à couper le cordon. Et pour les mamans pour lesquelles le film n’aurait aucun impact rassurez-vous, l’enfant, lorsqu’il devient adulte, reste toujours votre enfant. Parce que la confiance en soi s’entretient tout au long de la vie, même adulte votre enfant aura toujours besoin de vous et de votre soutien.
En conclusion :
Si vous êtes encore là , c’est que le sujet vous intéresse. Je vous propose donc d’aller plus loin en lisant, “oser” la thérapie de la confiance en soi de Frédéric Fanget aux éditions Odile Jacob. Comme cité plus haut,ce livre m’a servi de source pour écrire cet article. Il y est abordé également les sept préjugés principaux à l’origine du manque de confiance en soi. Le but étant de chercher ceux qui prédominent chez nous et de les gommer en appliquant les techniques proposées par l’auteur.
Merci d’avoir pris le temps de me lire et dites-moi dans les commentaires ce que vous avez aimez ou non dans cet article . J’aimerai beaucoup avoir votresentiment, à bientôt et gros bisous aux bambins .
Si vous pensez que ces conseils pourraient aider vos amis , merci de les partager sur Facebook, Twitter….
A votre épanouissement et à celui de vos enfants ! 🙂