Nous sommes depuis un peu plus de deux mois dans une toute nouvelle réalité. Nous nous sommes tous et toutes intérieurement dit un jour, que si tout était à refaire et à recommencer, nous nous y prendrions autrement. Nous changerions assurément certaines choses. Bien entendu, nous avions tous cette réflexion sans vraiment y croire, en pensant que cela n’arriverais sans doute jamais, car dans le fond… rien d’aussi grave ne surviendrait vraiment…
Nous étions tous pris dans nos vies, dans notre métro-boulot-dodo. Une vie sur le fast forward, au rythme de la vie des autres, des entreprises, des influenceurs, de nos employeurs… Nous faisions tous et toutes des pieds et des mains pour être des super papas, des super mamans, des super employés, des super collègues, des super conjoints. Une société de performance, de paraître, toujours être en premier, performant, en avant de l’équipe, à la recherche des résultats, des victoires, de la réussite…
Nos vies étaient pour plusieurs englouties par nos vies familiales, nos vies sociales, nos vies professionnelles. Nous étions pour plusieurs à bout de souffle et nous avons tous dit à plusieurs reprises : « Si seulement j’avais plus de temps… »
Les grands pensants de ce monde, les politiciens, les gens de Wall Street ont tous dit qu’un jour notre système économique allait frapper un mur, que notre monde tel que nous le connaissions allait dans une impasse et que tôt ou tard, nous serions acculés devant la dure réalité. Même les gens les plus fortunés, les employés avec les meilleures conditions n’y ont pas échappé.
BANG ! Ce qu’on croyait impossible est arrivé avec la Covid-19 : toutes les prédictions que certains pensaient impossibles sont devenues réalité. Un simple virus est parvenu à stopper les activités de l’humanité et nous forcer à un temps d’arrêt. Devant notre impuissance face à ce fléau, nous nous sommes repliés dans nos maisons, sur nos familles.
Nous n’avons pas eu un taux de chômage aussi élevé que depuis la Seconde Guerre mondiale. On compte par millions dans le monde les gens qui ont perdu leur emploi. Ma réflexion peut vous sembler pessimiste ce matin, mais j’aimerais vous faire cheminer avec moi dans ma réflexion. Dans mon prochain livre qui a été accepté par mon éditeur, j’aborde la motivation, le fait que chaque situation, si noire soit-elle est porteuse de bon, d’apprentissage, d’enseignement. Donc malgré tout ce qui se passe… il y a une bonne chose qui se passe…
Épiphanie
Dans l’épreuve qui afflige l’humanité tout entière, dans ces moments difficiles qui peuvent nous sembler noirs et négatifs, il y a une lumière qui naît, qui nous éclaire et qui nous donne espoir. Dans mon prochain livre, je dis abondamment que toute situation n’est pas fixée et figée dans le temps. Toute chose trouve son alter ego c’est une des lois fondamentales de notre existence. Rien n’est permanent. Tout ce qui est froid peut devenir chaud. Tout ce qui est noir peut devenir lumineux. Tout ce qui est bas peut remonter. Tout ce qui est triste peut être joyeux. La pauvreté VS l’abondance, la guerre VS la paix, etc.
Donc la vie commence peu à peu à reprendre son cours avec la nouvelle réalité. Ces jours nouveaux apportent leurs craintes, inquiétudes, questions. Mais ils sont également porteurs de vie, de lumière et d’abondances.
Les choses ne sont pas finies, LA vie n’est pas finie. Elle se transforme. Il en ira de même pour nos emplois, nos vies familiales, nos relations avec les autres. Ayons confiance en la suite des choses et gardons en tête que nous pouvons tirer profit de ce vécu des deux derniers mois pour avancer et grandir. Ce temps d’arrêt a été bien plus bénéfique pour la grande majorité d’entre nous. Au-delà du monétaire des choses, nous avons appris à reconnaître les gens vrais, l’importance de la famille, des relations humaines. Certaines personnes ont cédé à la peur, à la panique. D’autres, comme moi, ont profité de ce moment pour repenser leurs façons de faire, repenser leur business autrement. On peut devant ce qui se passe faire 2 choses : 1- s’écraser et s’apitoyer sur son sors et dire qu’on est une victime de la situation ou 2- choisir de se réinventer et profiter de la situation pour faire le grand ménage dans sa vie personnelle et professionnelle et se préparer pour le après quand tout va reprendre son cours.
J’ai fait le bilan de ma vie au cours des dernières semaines et j’ai fait mon plan d’action et pris les rennes de ma destinée.
Vous… qu’avez-vous fait des 2 derniers mois ?
Je vous invite à télécharger mon document pour vous aider vous aussi, à faire votre l’invetaire de votre vie :
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Amitié,
Yannick