ll y a tant à créer dans une vie.
La richesse de cette affirmation prend tout son sens lorsque vous comprenez bien que vous possédez le génie créatif pour vous accomplir à des niveaux inégalés. Retournez à la vie, chérissez-la et devenez vivant.
ll y a tant à créer dans une vie.
La richesse de cette affirmation prend tout son sens lorsque vous comprenez bien que vous possédez le génie créatif pour vous accomplir à des niveaux inégalés. Retournez à la vie, chérissez-la et devenez vivant.
La vie est précieuse, toutefois, nous nous laissons trop souvent emporter par les débris jonchant le fond de notre esprit comme l’inquiétude, la colère et la peur. On s’enlise dans le passé, on se perd dans de vieilles histoires et nous devenons incapables de vivre le présent en toute confiance.
Il est normal d’avoir peur de ce qu’on ne peut contrôler ou de ce qu’on ne peut comprendre. Néanmoins, il est possible d’aller au-delà de ces peurs et de créer une vie qui nous ressemble vraiment.
En vérité, on résiste à ce que l’on ne comprend pas. Nous résistons à la confusion, au mal et à la souffrance croyant ainsi que ces troubles intérieurs partiront d’eux-mêmes si nous les ignorons. Comme nous n’avons pas appris à vivre avec ces états d’âme, il nous est difficile de savoir exactement quoi en faire. Nous avons donc pris pour habitude de les REFUSER. C’est ce qui survient avec la peur. Sa présence indique le refus de faire vivre l’inconnu en nous sans le besoin de lutter contre lui.
La peur, seule, n’existe pas. La peur, pour exister, doit être mise en relation avec une autre idée de l’esprit.
Mais ça, ne le savions-nous pas déjà? Alors, pourquoi demeurons-nous emprisonnés dans nos peurs?
La peur surgit lorsque notre interprétation des faits s’établit en fonction de bien ou de mal. Elle vient également avec le désir de se libérer des états d’âme qui ne correspondent pas à notre vision de la vie. Notre esprit veut devenir autre chose que ce qu’il est déjà. Il vit une quête; la quête de la sécurité. Alors, il compare, analyse, prédit… en d’autres mots, l’esprit fait des efforts monumentaux pour construire un refuge où se loger!
Contre toute attente, en fonctionnant ainsi, l’esprit ne peut se débarrasser de la peur puisque la comparaison donne que très peu de résultats concluants. En tentant de comparer une expérience inconnue avec une expérience connue, il s’avère impossible d’établir un diagnostic compréhensible ni même valable. Comment pourrions-nous définir l’inconnu? L’esprit ne le peut pas. Dans un tel cas, ne serait-ce pas plus avantageux de cesser de chercher de vaines réponses?
En regardant de plus près, c’est précisément ce à quoi nous devons nous attarder, car l’esprit a peur de ce qui est nouveau et qui n’a pas trouvé sa place dans notre réalité connue, nos expériences passées et nos connaissances. On ne trouve aucune référence dans notre mémoire, on ne peut lui donner un nom ou l’associer à quelque chose de vécu.
L’esprit n’a d’autre choix que de réagir. Il se fait provoquer. Son instinct lui dicte d’avoir peur. Tout ce qui nous apparaît comme hors de notre contrôle se transforme en peur. C’est une réaction spontanée. Cette façon de réagir provient d’un coin de notre esprit qui s’appelle RÉSISTANCE. La peur est une résistance à l’inconnu. Le seul moyen de communiquer avec l’inconnu c’est d’éviter de lui trouver des causes et de ne pas chercher à le comprendre.
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