Ce mot t’empêche de réaliser tes rêves (et tu l’utilises tous les jours)

Ce mot t’empêche de réaliser tes rêves (et tu l’utilises tous les jours)

J’ai eu l’idée d’écrire ce texte en parlant avec une amie de voyage. Elle m’a dit : « Si un jour j’ai la chance de voyager », avec un regard qui s’évadait déjà vers des horizons qu’elle n’avait jamais foulés. Son esprit était déjà ailleurs, mais ses mots, eux, restaient enfermés dans un conditionnel qui limitait ses rêves. Elle pensait à sa situation financière précaire, ses obligations, se demandant comment elle pourrait bien voyager un jour. Mais dans ses yeux, je voyais autre chose : un désir sincère, une soif de découverte. Ce n’était pas le manque d’argent qui la retenait, c’était ce petit mot de deux lettres : « si ».

Sommaire de l'article :

Le « si » : un frein invisible

Le mot « si » est un saboteur silencieux. Il se glisse dans nos pensées, nos rêves, nos ambitions, et installe le doute. « Si j’avais plus de temps, je ferais du sport. » « Si j’étais plus confiant(e), je lancerais mon projet. » « Si j’étais aimé(e), je me sentirais mieux. » Ce conditionnel est un piège. Il crée une illusion : celle que notre bonheur dépend de circonstances extérieures.

Mais en réalité, ce n’est pas le manque de ressources, de temps ou d’opportunités qui nous freine. C’est la façon dont on pense. On attend que tout soit parfait pour commencer. On croit qu’il faut d’abord être prêt, avoir toutes les réponses, toutes les garanties. Pourtant, la perfection n’arrive jamais. Ce « si » nous maintient dans une attente passive, une posture d’observateur de notre propre vie.

Remplacer le « si » par des décisions affirmées

Imagine un instant que tu supprimes ce « si » de ton discours intérieur. Que reste-t-il ? Des affirmations. Des décisions.

Au lieu de penser : « Si j’avais plus de confiance en moi, je prendrais la parole en public », dis-toi : « Je prends la parole, même si j’ai peur. » La peur est là, oui. Le doute aussi. Mais l’action ne dépend pas de leur absence. Elle naît du courage de faire malgré eux.

Un autre exemple :

« Si j’avais de l’argent, je voyagerais. »
Devient : « Je vais voyager, et je trouverai des moyens pour y arriver. »

Tu vois la différence ? Dans le premier cas, tu conditionnes ton rêve à une situation idéale. Dans le second, tu prends la responsabilité de créer cette réalité, pas à pas. Ce n’est pas une question de magie, mais de posture mentale. Quand tu arrêtes d’attendre des conditions parfaites, tu crées des opportunités là où il n’y en avait pas.

« Je ne sais pas comment, mais je sais que cela va arriver »

Il y a une phrase qui change tout : « Je ne sais pas comment, mais je sais que cela va arriver. »

Elle déplace le focus du « comment » au « pourquoi ». Tu n’as pas besoin de connaître chaque étape du chemin pour commencer à marcher. Ce qui compte, c’est d’avoir la conviction que tu avanceras, peu importe les détours, les obstacles, les doutes.

Quand tu changes ta façon de penser, tu changes tes actions. Et quand tu changes tes actions, tu changes tes résultats. Ce n’est pas un coup de chance, c’est un processus. Tu n’as pas besoin de savoir comment tout va se dérouler. Ce que tu dois savoir, c’est que tu vas y arriver. Même si c’est flou aujourd’hui. Même si ça semble loin. Ce n’est pas une question de logique. C’est une question de foi en toi-même.

Ouvrir énergétiquement la porte à ce que la vie nous surprenne

Parfois, on pense qu’il faut des changements radicaux pour transformer sa vie. Mais non. Ce sont les petits pas, réguliers, constants, qui créent les grandes différences.

Et si pour l’instant, tu ne peux pas agir concrètement ? Crois. Aie la foi que la vie mettra des occasions sur ton chemin. Ouvre énergétiquement la porte à ce que la vie te surprenne. Ce n’est pas toujours une question d’efforts physiques ou d’actions visibles. Parfois, le simple fait de croire en la possibilité d’un changement est l’étincelle qui attire les opportunités.

Tu veux voyager mais tu n’as pas les moyens ? Répète-toi : « Je ne sais pas comment, mais je sais que cela va arriver. » Garde cette conviction vivante. Ton esprit commencera à remarquer des portes que tu n’avais jamais vues auparavant. Une conversation fortuite, une opportunité imprévue, une idée qui germe. Croire, c’est agir dans l’invisible.

Chaque petite pensée positive, chaque ouverture d’esprit, chaque croyance en tes rêves crée un élan. Ce n’est pas de la magie, c’est de l’énergie dirigée. La vie répond à ton état d’esprit.

Cesse d’attendre, commence à croire

La vie n’attend pas. Le temps passe, que tu agisses ou non. Et pendant que tu attends que les conditions soient parfaites, d’autres, qui n’avaient pas plus de ressources que toi, construisent des choses incroyables. Pourquoi ? Parce qu’ils ont choisi de croire. Ils ont ouvert leur esprit à l’inattendu, à l’imprévu, à la magie des rencontres et des opportunités.

Arrête de dire : « Si j’avais plus de temps, je prendrais soin de moi. »
Dis : « Je crois que je peux trouver du temps, et je commence par quelques minutes aujourd’hui. »

Arrête de penser : « Si j’étais sûr(e) de réussir, je tenterais ma chance. »
Dis : « Je crois en moi, et c’est suffisant pour essayer. »

Parce que la vraie vie commence quand tu arrêtes de la conditionner à des « si ». Elle commence quand tu choisis de croire, même si tu as peur, même si tu doutes, même si tu ne sais pas comment.

« Je ne sais pas comment, mais je sais que cela va arriver. » C’est la phrase que je veux que tu retiennes. Parce qu’elle porte en elle la force de croire en toi, même quand rien n’est clair. Supprime le « si » de ton vocabulaire. Remplace-le par des croyances positives, des décisions, des ouvertures. Ce n’est pas une formule magique. C’est un choix. Le choix de croire que la vie conspirera en ta faveur, à l’instant où tu ouvres la porte de ton esprit.

Parfois, il suffit d’un petit ajustement dans nos pensées et notre façon de parler. Je t’invite à découvrir mon programme de 52 exercices pour transformer ta vie durablement pour t’aider dans ce processus.

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