Bonjour à tous !
Je continue mes articles sur les croyances et leur importance sur la santé pour vous aider à améliorer votre santé si vous avez une maladie inflammatoire chronique ou des troubles associés et vous montrer à quel point ce sujet est partie intégrante de la santé et
- Qu’il est essentiel de se pencher sur ce sujet lorsque l’on a une maladie chronique
- Qu’il est tout à fait possible d’apporter de vrais changements à nos croyances
- Qu’il est assez simple de le faire lorsque l’on guidé
- Que les bénéfices sur la santé et sur l’équilibre de vie sont bien réels ❤️
Pour rappel, nous grandissons et nous nous construisons sur des valeurs et des croyances transmises par notre environnement (pour 80% environ) et validées par nos expériences, qui vont pour beaucoup nous suivre dans nos vies.
Certaines de nos croyances sont aidantes, mais d’autres sont limitantes voire toxiques et peuvent contribuer à des déséquilibres dans certains domaines de nos vies, générer beaucoup de stress, d’angoisses, de freins au quotidien, pouvant aller jusqu’à entrainer le déclenchement d’une maladie ou d’une nouvelle poussée.
Nous développons également des croyances suite au déclenchement de la maladie, tout aussi aidantes ou toxiques (certaines peuvent être un peu des 2), pour nous aider à surmonter cette maladie et avancer du mieux que l’on peut dans notre quotidien.
Aujourd’hui je vais vous parler d’une croyance qui bien souvent remonte à la petite enfance, croyance sur laquelle j’ai récemment travaillé avec une personne que j’ai accompagnée et qui je pense devrait faire écho chez beaucoup d’entre vous, il s’agit de la croyance, pas toujours consciente car bien ancrée dans ses habitudes « qu’il faille FAIRE PLAISIR AUX AUTRES, voir leur être totalement dévoué pour être aimé et avoir de la valeur ».
Bien sûr, comme toute croyance, elle n’a pas que des aspects négatifs, mais celle-ci particulièrement, me semble intéressante à creuser pour les personnes ayant une maladie chronique.
R. pour ne pas la nommer, a grandi dans un environnement assez feutré.
Tous les membres de sa famille sont très discrets et certains comme son père, se considèrent comme étant sans intérêt pour les autres.
R. n’y faisait pas exception. Je l’ai donc rencontrée effacée, discrète avec peu de confiance et d’estime d’elle.
Lorsqu’elle est m’a contactée, elle était de nouveau en poussée.
Elle souhaitait bien sûr aller mieux, mais également prendre confiance en elle et oser passer à l’action pour entre autre trouver un travail qui lui plairait.
Un des moyens pour elle de se sentir valorisée (et c’était le mode de fonctionnement des membres de sa famille) étant de faire plaisir aux autres, même lorsque cela lui coûtait et qu’au fond elle aurait préféré faire différemment.
R. ne vivait pas vraiment pour elle.
D’une certaine manière, elle ne vivait qu’au travers des autres et en se forçant trop souvent.
Bien sûr, cela en faisait une personne dévouée, mais également effacée et se faisant subir à elle-même des choses qu’elle n’avait pas envie de faire, dans l’hypothèse et la supposition (pas toujours vérifiée) que cela ferait peut-être plaisir aux autres.
R. ne vivait pas SA vie !
Bien sûr, elle n’avait pas conscience du fait qu’il s’agissait d’une croyance, qu’elle n’était pas obligée de continuer à y croire et que cela pouvait lui être nuisible dans son équilibre de vie.
Lorsqu’elle a mis des mots sur sa croyance, qu’elle a pris conscience que non seulement elle n’avait pas la certitude de faire plaisir aux autres dans toutes ses actions, mais qu’elle ne se faisait pas plaisir et ne vivait pas pour elle, cela a été le début de changements radicaux.
Elle a décidé de de séparer de cette croyance, car c’est là la beauté de la force de notre mental, nous pouvons décider de notre manière d’être, ce n’est pas si difficile.
Cette croyance lui a été transmise dans son enfance, mais elle n’était pas cette croyance, personne n’avait décidé qu’elle devait être comme ci ou comme cela, elle n’était pas obligée de la garder .
Si vous y réfléchissez, ne pas vivre sa vie, faire plaisir aux autres pour se sentir aimé et exister, c’est ne pas vivre, s’étouffer soi-même est lion d’être un facteur d’équilibre dans une vie et peut avoir un sérieux impact sur la santé.
J’ai donc guidé R avec une grande joie et avec émerveillement dans ses changements, dans ses actions pour ancrer sa nouvelle croyance et ses nouveaux comportements.
R. aujourd’hui continue à faire plaisir aux autres, mais uniquement lorsque cela lui fait plaisir et cela change toute la démarche !
Elle a mis en place des actions pour mener à bien ses projets à elle et chaque nouveau pas lui permet d’être plus en confiance, de gagner en estime d’elle et de progressivement investir sa vie à elle ! Et je peux vous dire qu’elle ne s’arrête plus et qu’elle déborde d’énergie, c’est un vrai cercle vertueux.
😉
Et devinez quoi ? ELLE VA MIEUX et SA SANTE s’est AMÉLIORÉE !
Cela peut vous paraître fou, mais on parle de VIVRE et ETRE EN SANTE c’est aussi ACCEPTER de vivre sa vie, CHOISIR, DÉCIDER de ce que l’on veut faire pour vivre sa vie.
Et c’est essentiel comme facteur d’équilibre et de santé.
Tout cela pour vous montrer une fois de plus l’importance et l’impact des croyances sur la santé et de prendre le temps d’aller y regarder de plus prêt.
Et au-delà de cela, c’est une précieuse connaissance de vous-même que vous acquérez.
📌 À lire aussi : L’importance de l’impact de nos croyances sur notre état de Santé
Si ce retour d’expérience vous a interpellé, a fait écho chez vous, je serais heureuse d’échanger avec vous lors d’une séance d’accompagnement découverte, afin de voir si je peux à votre tour vous accompagner dans votre voyage vers votre bien-être.
Sachez que je propose un accompagnement de 4 mois spécifiquement sur les croyances et la santé. SI vous voulez en savoir plus sur mes différents accompagnements, c’est par là : www.annelaureburay.fr
Au plaisir d’échanger avec vous prochainement,😉
En attendant, prenez grand soin de vous 🙏
Anne-Laure