Sommes-nous du type à percevoir le monde qui nous entoure comme hostile ou nous le voyons plutôt amical? Cultivons-nous la peur ou la foi?
Je ne vous apprends sûrement rien de nouveau ici, mais la façon dont nous interprétons tous les événements de la vie – notre vie comme celle des autres – a une énorme influence sur notre potentiel de bonheur.
Si, par exemple, nous sommes abonnés à toutes les sources d’informations qui diffusent les nombreuses catastrophes pouvant survenir sur la planète et que nous en faisons nos principaux sujets de conversation, comment est-il alors possible d’attirer, dans nos vies, la joie et la quiétude? Notre cerveau est beaucoup trop occupé à essayer de digérer toute cette lourdeur et toute cette noirceur!
Si nous désirons réellement nous sentir mieux, améliorer notre existence, il faut absolument faire un choix entre cultiver des pensées de peur ou alimenter notre foi en tout ce que la vie a de beau et de bon à offrir, et ce, malgré les circonstances en cours.
Le jour où nous comprendrons qu’il est contre-productif de s’en faire inutilement pour des choses qui, souvent, ne nous concernent pas ou sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle, nous ferons le premier pas vers la liberté et l’équilibre.
Non seulement la façon dont on voit le monde est la façon dont on crée sa propre vie, mais si chaque habitant de la Terre travaillait davantage à bonifier son propre bonheur, les effets s’en feraient ressentir à l’échelle planétaire puisque nous sommes tous inter-reliés énergétiquement parlant. Ainsi, nous pouvons presqu’affirmer : « Lorsque je suis heureux; le monde l’est aussi. »
Jackie B. Hamilton