Qu’est-ce qui t’empêche d’avancer dans ta vie ? D’avoir le travail idéal ? D’avoir la vie de tes rêves ? Finalement, de voir tout simplement se concrétiser tous tes désirs et tes rêves les plus fous :). C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.
Se pourrait-il que tu t’empêches tout seul d’aller vers ce que tu veux ? J’ai lu plusieurs livres sur le fait que l’on est souvent nos propres autos saboteurs dans notre vie. Les excuses qui empêchent d’avancer sont nombreuses. Lorsque l’on se trouve des excuses pour faire ou ne pas faire quelque chose, nous perdons le contrôle sur notre vie. Wayne Dyer a écrit un super livre sur le sujet : Arrêtez de vous trouver des excuses !
La bonne nouvelle, c’est que tu vas mieux comprendre ce qui se passe lorsque tu essayes de mettre en place un changement, une action, mais que tu n’y arrives pas ou que tu sens que quelque chose te bloque.
Dans cet article, tu vas apprendre comment éviter certains comportements et bien entendu tu vas découvrir ce que tu devrais faire à la place pour oser changer, oser aller vers les gens, oser trouver le travail qui va te faire vibrer, oser voyager si c’est de ça que tu as envie, oser parler en public, oser sortir de ta zone de confort, oser briller de tous tes feux, oser demander de l’aide, oser dire non, oser dire ce que tu penses, oser être toi, oser être vrai !
Oser, car finalement, il n’y a que la personne assise à ta place qui puisse le faire. TOI.
Pour la suite, je te demande de prendre le temps de lire les 5 excuses en écoutant le discours qui se passe au moment où tu lis. Observe cette petite voix dans la tête. Que dit ton ego ?
1. Jouer la victime
Je sais que ce n’est pas l’fun de se faire dire que l’on se plaint tout le temps et que l’on est victime. Est-ce que cela se peut que tu te plaignes souvent de la même chose, la même situation.
Prenons l’exemple d’une personne qui voit sa collègue être promue à sa place. Durant les semaines qui suivent, elle se morfond, dit qu’elle a passé une bonne entrevue, qu’elle ne comprend pas pourquoi elle n’a pas eu le poste. Elle va se plaindre, gémir, soupirer. Et les gens autour d’elle vont la consoler et essayer de lui remonter le moral. Mais rien n’y fera. Rien ne marchera, car elle est dans la blessure d’Abandon. La plus grande peur de cette personne qui est dans cette blessure est la solitude.
L’attention
C’est difficile à entendre, mais c’est comme si elle se complaisait dans le rôle de victime. En se plaignant, elle attire l’attention des autres, elle se fait plaindre.
Je te donne un exemple plus simple. Mon fils rentre de l’école et me dit : Maman, je me suis ouvert le genou, ça a fait mal. Il a mis deux gros pansements, il en a parlé à toutes les personnes qu’ils rencontraient. Et bien entendu, les gens ont pris le temps de lui dire : Ha oui, montre-moi, wow tu es courageux bla bla bla…il a eu l’attention qu’il voulait.
Cette personne va parler de ce qui leur arrive, mais même si tu lui donnes des conseils, elle ne les écoutera pas, car ce qu’elle veut, c’est ton attention. C’est comme lorsque tu lui donnes un conseil. Que te dit-elle ? OUI MAIS et elle change de sujet. En gros, c’est comme cela qu’une personne peut rabâcher la même histoire depuis 20 ans sans vouloir trouver des solutions, car elle a toujours une oreille pour l’écouter.
Je t’avoue avoir été pareille lors de mon intégration au Québec, jusqu’au moment où j’ai pris ma responsabilité et j’ai assumé mon choix.
La solution pour le moment, si tu te vois dans ce comportement, observe-le. Sois conscient lorsque tu te vois aller dans ce comportement. Car pour transformer tu dois être conscient.
2. Ce n’est jamais le bon moment !
Je me souviens avoir dit souvent à mon mari, ce n’est pas le bon moment d’avoir des enfants. J’ai tellement de choses à faire avant. Et pourtant, ce que je voulais c’était en avoir, mais je me trouvais des excuses parce que j’avais peur de ne pas être une bonne mère.
Est-ce que toi aussi il t’arrive de dire que ce n’est pas le bon moment ? Ce n’est pas le bon moment de changer de travail, car ma collègue est malade, ce n’est pas le bon moment de recommencer le sport, car je suis débordée au travail, ce n’est pas le bon moment de voyager, car je dois terminer un projet, ce n’est pas le bon moment pour me reposer, car je dois terminer ce que j’ai écrit dans ma to do liste.
Enfin tout ce qui fait que tu remets à plus tard ton rêve, ton objectif.
La solution est de faire la liste de ce que tu remets à plus tard, car ce n’est pas le bon moment. En prenant le temps de le réaliser, il te sera plus facile de te mettre en mouvement.
3. Le problème de l’argent
Je veux quitter mon travail, je ne l’aime plus, je suis démotivée, mais il est payant ! Ou je ne sais pas si j’ai assez d’argent pour me payer une formation pour devenir entrepreneur ou prendre ma vie en main !
Il y a beaucoup d’informations gratuites sur internet pour t’aider à grandir et apprendre sur toi. As-tu commencé à pratiquer et mettre en place les outils que l’on te donne avec cœur ? As-tu mis en place des actions parce que tu veux réellement un changement ?
La solution est de te poser la question si tu avais l’argent dont tu as besoin pour te payer le voyage de tes rêves tant, pour te payer une formation sur l’entrepreneuriat ou même te payer un coach qui va te guider à pas à pas…ferais-tu réellement le pas ?
Si la réponse est non, c’est que tu as une belle excuse devant toi.
4. Les autres avant tout
Que notre ego est content lorsqu’on lui sort cette phrase. Il est vrai que par l’éducation que l’on a reçue, nous avons développé une croyance qui dit : que l’on doit s’occuper des autres avant de s’occuper de soi. On doit faire de bonnes actions. Tu donnes aux autres et si tu as du temps tu t’en donneras à toi. Et donc nous voilà lâcher dans le monde avec cette belle croyance « un jour quand j’aurai du temps, je vais m’occuper de moi ». Si on s’occupe de soi, c’est être égoïste ! Et je suis certaine que tu ne veux pas être jugé d’égoïste.
QUAND vas-tu t’occuper de toi ? À la retraite, quand les enfants seront grands et qu’ils n’auront pas besoin de toi…franchement ? Penses-tu réellement qu’ils n’auront jamais de toi ?
Pourquoi attendre ?
La solution est de redéfinir l’égoïsme. Demander à quelqu’un d’autre de s’occuper de toi en premier avant même son propre besoin est de l’égoïsme. Se faire passer en premier, c’est de l’amour de soi. On sera beaucoup plus frais et disposé si on est bien dans notre tête et dans notre peau que tout donner et s’épuiser, non ? Et en plus, il y a de grandes chances que tu aides parce que tu veux être aimé et non parce que tu as envie d’aider !
Si tu es le sauveur du monde, il va être plus difficile d’arrêter du jour au lendemain. Mais observes-toi dans le comportement et prends le temps de savoir si tu aides les autres parce que tu as envie d’aider ou si c’est parce que tu veux être aimé !
5. Les peurs
Je ne t’apprends rien. Un enfant qui a peur de l’eau ne sautera pas tout de suite dans l’eau. Si tu as peur des hauteurs, tu ne penseras pas faire du parachute. Si tu as peur de ne pas trouver un autre travail, tu vas préférer rester où tu es même démotivé au lieu d’aller en chercher un, si tu as peur de l’avion tu feras des voyages qui n’impliquent pas l’avion, etc.
La solution est lorsque que tu sens que tu veux quelque chose, mais que tu n’y arrives pas, pose-toi la question. De quoi ai-je peur ? Essaye de le faire sans le mentaliser. Si tu le passes par le cerveau, il va analyser, rationaliser et te convaincre que tu n’es pas sur le bon chemin.
La grande question
Si tu t’es reconnu dans l’une de ces situations, que dois-tu faire à ton avis ? Te taper sur la tête ou t’applaudir ? Si tu as répondu te taper sur la tête, tu es à côté de la traque !
Au contraire, tu as le droit d’être applaudis, car tu as été assez fort pour réaliser, observer et mettre des mots sur ce qui t’empêche de passer à l’action ! BRAVO ! Tu veux atteindre tes objectifs, voici une vidéo que j’ai faite qui peut t’aider, fonce !