Nous sommes nés programmés pour nous reproduire et permettre à notre espèce se perpétuer; plutôt cool comme concept, n’est-ce pas?
Même si en même temps, une sexualité épanouie, le plaisir, sont souvent limités par les tabous, les croyances limitantes et aussi par certains abus vécus par nombres de personnes, femmes et hommes.
Tout le monde a besoin d’amour,
L’être humain est grégaire,
Nous avons tous besoin d’entretenir des liens quels qu’ils soient,
Nous pouvons aimer nos amis,
Car l’amour n’a pas besoin de sexualité et en même temps, la sexualité à besoin d’amour pour s’exprimer pleinement.
Nous avons le devoir de nous aimer, d’aimer la vie, pour pouvoir aimer, et je suis d’accord avec Stendhal qui écrit que,
« L’amour a toujours été pour moi la plus grande des affaires ou plutôt la seule »,
Mais,
Trop souvent la croyance que l’amour se trouve « à l’extérieur » conduit à de nombreuses désillusions; l’expression « rencontrer l’amour » est un piège, c’est une présupposition qui laisse à croire que nous ne sommes pas « amour », si l’on omet d’avoir conscience que nous sommes, chacun d’entre nous, le créateur de toute chose.
Mais,
Parfois les relations sont toxiques (si par exemple vous générez de la dépendance affective ou plus précisément, votre programmation vous rend dépendant au rejet);
Alors l’un des partenaires va, souvent inconsciemment et parfois volontairement, utiliser la sexualité, ou d’autre failles qui sont les votres, pour dominer l’autre et ainsi, entretenir l’interdépendance de la relation toxique.
L’argumentation du manipulateur est par exemple, « si tu ne fais pas ça, je ne te touche plus… » ou « si tu es ok pour faire ce que je veux je te promet de… », « regarde tout ce que je fais pour toi », « de toute façon qui voudrait de toi »…
Il arrive même comme dans le cas d’un élève, que l’un des partenaire aille très loin en raison de sa programmation dysfonctionnelle; le chantage vécu était la promesse de certains types de pratiques, leur fréquence… si et seulement si mon élève acceptait d’avoir un enfant. Je vous laisse imaginer la qualité de la relation! Je vous laisse imaginer les conséquences potentielles pour l’enfant…
Il arrive que ce qui se passe dans la sphère privée soit bien différent des apparences que l’on offre à l’extérieur, n’est-ce pas?
Ce genre de comportements est inacceptable pour celui qui le subit et en même temps l’inacceptable est toléré tant que la perversité de la relation d’emprise n’est pas brisée, tant que la personne abusée ne dit pas:
STOP!
NON!
Souvent c’est une autre rencontre (comme pour cet élève), qui conduit à la rupture et crée une nouvelle association de partenaires de danse ou la même programmation produira, les mêmes effets, la même dépendance émotionnelle, les mêmes conséquences.
Et puis les scénarios vont se reproduire car,
La programmation interne est sensiblement identique, même si croyant être sorti de l‘emprise parce que consciemment on se dit avec certitude « plus jamais ça », l’inconscient fera simplement son travail jusqu’à ce que les expériences soient suffisamment signifiantes pour décider de changer, vraiment.
Si l’amour est une chose merveilleuse, la sexualité est seulement l’un des moyens pour l’exprimer et lorsque les partenaires sont, totalement et complètement libres de leur choix, quand ont accepte pleinement la personne que nous sommes, quand nous sommes déjà « AMOUR », la magie de l’amour à deux est bien différente. Elle existe, vraiment.
Et si vous vous imaginiez doté d’une confiance en vous puissante?
Et si vous saviez vraiment ce que vous voulez vraiment vivre comme expériences dans chacun des principaux piliers des domaines de vie?
Que pourrait-il vous arriver de pire quand vous serez libéré du passé?
Et si vous vous ouvriez à la possibilité de vous en libérer?
Qu’est-ce qui donne raison à votre EGO dans qui ne vous convient pas?
Et si vous agissiez pour devenir qui vous voulez ÊTRE vraiment?
Quel serait votre image de l’amour?
Comment pourriez vous vous voir?
Que ressentirez-vous, libéré des programmes inconscients limitants?
Imaginez…
Belle journée.
François.